5 questions à Henry Cavill
Le nouveau Superman, c’est lui! À tout juste 30 ans, il empochera plus de 14 millions pour jouer les superhéros.

Quel est votre premier souvenir de Superman?
Je me souviens surtout d’avoir regardé des dessins animés de ce superhéro le matin avant d’aller à l’école. Comme tous les enfants, je m’amusais à me prendre pour lui. Parfois, j’accrochais même une serviette autour du cou pour l’imiter.
Quelle a été votre réaction en enfilant le costume pour la première fois?
C’était fantastique! Pendant des semaines, il y a eu des essayages et des tests... Mais c’est lorsque je me suis regardé dans un miroir, vêtu de la tenue, pour la première fois, que j’ai su que mon rêve devenait réalité.
Êtes-vous prêt à devenir la nouvelle coqueluche de Hollywood?
Le public va peut-être me découvrir cette année, mais je ne suis pas un débutant. Je sais que, dans ce milieu, on ne peut jamais prévoir son avenir. Je ne vis pas à Hollywood. J’ai un domicile à Londres. Je vais là où le travail me mène.
Pour ceux qui vous découvrent, racontez-nous vos débuts.
La comédie m’a toujours attiré, et je jouais dans les pièces de fin d’année à mon école. Le déclic s’est produit quand mes parents m’ont envoyé en pension pour finir mes études à la Stowe School de Buckinghamshire. J’ai très mal vécu cette séparation d’avec ma famille et mes amis de l’île de Jersey. Mon seul refuge, c’était les cours d’art dramatique. Un jour, un agent est venu nous voir répéter. Il cherchait un jeune débutant qui jouerait dans The Count of Monte Cristo (Le comte de Monte Cristo). J’ai été choisi. Mes parents étaient horrifiés à l’idée que je devienne acteur. Mon père m’a toujours dit: «Finis tes études, apprends un métier, et on verra ensuite pour le cinéma.» Maintenant que je gagne ma vie en jouant, ils sont soulagés et fiers de moi.
Quelles sont vos passions en dehors du cinéma?
J’adore les jeux vidéo, et je peux passer des heures sur mon PC à jouer sur internet avec des étrangers à l’autre bout du monde. J’aime aussi faire de longues marches dans la nature et du snowboard. Ça m’aide à me vider l’esprit.
Pour lire l’intégralité de l’entrevue, consultez le Star inc. de juin, présentement en kiosque.