Comment porter la robe à (méga) volants sans avoir l’air d’un luffa

Le temps des célébrations est à nos portes. Enfin une occasion de quitter notre linge mou pour nous mettre sur notre 31!

Sauf que trop, c’est comme pas assez, n’est-ce pas? Chez le bien nommé Ashish, on a un peu fumé la moquette: cette robe frôle la surdose de volants scintillants. Quant à la silhouette imaginée par Alvaro Calafat, elle disparaît sous un amas de tulle qui n’est pas sans rappeler les pompons en papier décoratifs achetés rapido au Dollarama pour un party d’enfants. Mais Noël, le Nouvel An, les réveillons, tout ça, n’est-ce pas justement le temps des excès?

À ça, je réponds: pas faux. Personnellement, je me contenterai d’abuser de bonne chère. Les volants, pourquoi pas, mais on se rappellera l’adage d’usage en cette période de soupers arrosés: la modération a bien meilleur goût. Si ça vaut pour l’alcool, ça vaut sûrement pour les froufrous.

ON ÉVITE:  

Les accessoires, vu que, de toute façon, on ne les verra pas.

ON OSE:    

Assumer son imposante présence, qui va faire concurrence au sapin. Cela dit, c’est la tenue idéale pour pratiquer la distanciation physique et se protéger des haleines désagréables. Allez, bonne année!

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