Guide de survie pour la nouvelle trentenaire | Clin d'œil
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Guide de survie pour la nouvelle trentenaire

Vous avez soufflé vos 30 bougies hier?

Avant de crier «Sayonara!» à votre patron, de vendre votre maison, de quitter votre chum et de partir sur un coup de tête pour vivre dans un yourte en Mongolie, lisez bien ce qui suit. Après, vous pourrez acheter votre billet d’avion... ou non.

1. Dites-vous que vous êtes normale  

Ne soyez pas inquiète: tout va bien, vous n’êtes pas malade. S’il est important de réaliser que vous traversez une période difficile, il vous faut surtout comprendre que cet état n’est pas permanent. Vous êtes tout à fait normale, la crise de la trentaine n’est facile pour personne.

2. Évitez les décisions hâtives  

Surtout, ne prenez pas de décision sur un coup de tête! Ne cédez pas à la tentation de laisser tomber votre emploi ou de déménager à 850 km sans y penser un tant soit peu à l’avance ou prévoir un plan B, voire une troisième solution. Vous ne serez que plus en accord avec vous-même.

3. Ne balayez pas tout du revers de la main  

Bien sûr, vous voulez que tout change tout de suite. Mais faire table rase de votre situation personnelle et professionnelle ne garantit en rien que vous réglerez votre problème. Vaut mieux s’y attaquer de front que d’aller semer ailleurs.

4. Prenez votre temps  

Qu’une crise survienne à 27, 34 ou 43 ans, elle peut être longue et difficile à traverser. Soyez-en consciente. Alors, laissez mûrir votre projet, prenez les décisions qui s’imposent et ne changez pas tout du jour au lendemain. La patience est de mise quand la crise se pointe.

5. Faites du sport  

La psychologue Séverine Hervouet n’hésite pas à prescrire des séances de yoga ou d’autres activités sportives, si la personne en est capable. La santé physique et psychique est importante pour atteindre un équilibre, et c’est encore plus vrai en période de «crise».

  

6.Travaillez sur vous-même

Une crise ne se règle jamais d’elle-même. Le temps aide, mais il faut aussi faire un travail sur soi. «Ce n’est pas toujours en changeant l’extérieur que l’on règle le problème, ajoute Maxime-Olivier Moutier. Il y a toute une chaîne psychique dans une crise.» Il est facile de pointer du doigt l’environnement, alors que la cause se trouve souvent au fond de soi-même.

À VOIR : Les changements capillaires les plus drastiques des stars  

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